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JOBS THAT MAKE SENSE #2

12/05/2023
Le Refuge, c'est près de 130 collaborateur.rices réparti.es dans 14 services ! Chacun d'entre eux a son propre champ d'action, ses propres projets mais ils tendent tous vers le même but: le bien-être des résident.es. Des métiers qui, à nos yeux, font sens et que nous désirons vous présenter à tour de rôle. Aujourd’hui, nous continuons notre tour du Centre avec le Service des Finances à travers les yeux de ses trois représentant.es que sont Laurent, Murielle et Fred.

Nos trois mousquetaires manient les chiffres et les virements bancaires comme Albert et ses congénères les épées. Et leurs cibles sont multiples mais purement bénéfiques. Leur mission première consiste ainsi à financer les besoins – au travers de procédures administratives sempiternelles – de tous les autres services. Mieux dit, sans leur besogne quotidienne, le bon fonctionnement du Centre serait en péril.

Au-delà de sa fonction administrative, Laurent est heureux d’œuvrer à une cause qu’il estime noble : avant le Refuge, je travaillais dans la mondialisation où nous étions considérés comme des numéros passant notre journée à envoyer des e-mails derrière un bureau. Ici, la tâche consiste à aider des gens qui en ont besoin, c'est beaucoup plus humain, même si nous ne sommes pas en contact régulier avec ces personnes. Dans les faits, nous avons tout de même un impact concret sur la qualité de leur accueil.

Dans la pratique, leurs missions ne se focalisent pas uniquement sur les autres services. Comme l’explique Muriel, ils.elles participent pleinement à l’accès aux besoins fondamentaux des résident.es : fournir trois repas par jour, le kit d’accueil de la couverture à l’oreiller et surtout réaliser les paiements du travail communautaire ou de l’argent de poche de chacun.e, c’est aussi de notre responsabilité. 

Une responsabilité qui fait sens pour Fred, le dernier arrivé de la bande : travailler chez Fedasil me permet en plus, à titre personnel, de changer de point de vue sur le métier. Nous sommes certes derrière un bureau mais l’accomplissement de nos tâches au jour le jour fait, en quelque sorte, avancer un peu notre humanité à toutes et tous.